• La connais-tu, Daphné, cette vieille romance
    Au pied du sycomore... ou sous les mûriers blancs,
    Sous l'olivier plaintif, ou les saules tremblants,
    Cette chanson d'amour, qui toujours recommence ?

    Reconnais-tu le Temple au péristyle immense,
    Et les citrons amers où s'imprimaient tes dents,
    Et la grotte fatale aux hôtes imprudents
    Où du serpent vaincu...