La glycine est fanée et morte est l'aubépine ; 
Mais voici la saison de la bruyère en fleur 
Et par ce soir si calme et doux, le vent frôleur 
T'apporte les parfums de la pauvre Campine.
Aime et respire-les, en songeant à son sort 
Sa terre est nue et rêche et le vent y guerroie ; 
La mare y fait ses trous, le sable en fait sa proie 
Et le peu qu'on lui...
