• Pleurant amèrement mon douloureux servage
    Qui tient mon corps mal sain, mon esprit en souci,
    Le coeur comblé d'amer, le visage transi,
    Cachant l'ombre de vie en une morte image,

    Je cherche vainement qui l'esprit me soulage ;
    Le médecin du corps, j'éprouve vain aussi,
    D'un front saturnien, d'un renfrogné sourcil,
    Je trouve tout ami en amitié volage....