• Ô Toy par qui jour et nuit je soupire,
    De qui sans gré la superbe valeur
    Me fait languir dedans un beau malheur,
    Viendray-je point au sommet ou j'aspire ?

    S'il ne te chaut de mon mal qui s'empire,
    S'il ne te chaut d'eteindre ma douleur,
    Au moins permetz que de cette chaleur
    Par un baizer tant soit peu je respire.

    Ainsi disoy-je, et tu...