Ô de mon bien futur le frêle fondement !
Ô mes désirs semés en la déserte arène !
Ô que j'éprouve bien mon espérance vaine !
Ô combien mon tourment reçoit d'accroissement !
Ô douloureux regrets ! ô triste pensement
Qui avez mes deux yeux convertis en fontaine !
Ô trop soudain départ ! ô cause de la peine
Qui me fait lamenter inconsolablement !...