• Il est des maux sans nom, dont la morne amertume
    Change en affreuses nuits les jours qu’elle consume.
    Se plaindre est impossible ; on ne sait plus parler ;
    Les pleurs même du cœur refusent de couler.
    On ne se souvient pas, perdu dans le naufrage,
    De quel astre inclément s’est échappé l’orage.
    Qu’importe ? Le malheur s’est étendu partout ;
    Le passé n’...