À Georges d’Esparbès.
Ton âme m’est visible ainsi que la lumière,
Et, comme elle, m’est chaude, et, comme elle, m’a pris
Dans sa caresse unique, où mes espoirs taris
Ont soif de retrouver la source coutumière.
Ton âme m’est très douce, ainsi qu’une chaumière
De rêve, ouverte au vol errant des blancs esprits
Que les neiges du...