• Nous à qui ne suffisaient pas nos deux mains
    Pour presser vos grappes collines du Rhin
    Comme d'un sein vierge on espère le lait
    Aujourd'hui que nous n'avons plus soif
    Une fée anonyme
    Exauce le plus éphémère de nos souhaits
    Elle nous change en ponts
    Ivres du vin gris qui coule sous leurs arches

    Quand les nymphes du Rhin
    Sous nos arches...