Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
Que j'étudie trop, que je fasse l'amour,
Et que d'avoir toujours ces livres à l'entour
Rend les yeux éblouis et la tête alourdie.
Mais tu ne l'entends pas : car cette maladie
Ne me vient du trop lire ou du trop long...
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Je ne commis jamais fraude ni maléfice, |
Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux ? |
Ores, plus que jamais, me plaît d'aimer la Muse |
Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde |