• Que l'on jette ces lis, ces roses éclatantes,
    Que l'on fasse cesser les flûtes et les chants
    Qui viennent raviver les luxures flottantes
    A l'horizon vermeil de mes désirs couchants.

    Oh ! Ne me soufflez plus le musc de votre haleine,
    Oh ! Ne me fixez pas de vos yeux fulgurants,
    Car je me sens brûler, ainsi qu'une phalène,
    A l'azur étoilé de ces flambeaux...