• Penser qu'on vivra jamais dans cet astre,
    Parfois me flanque un coup dans l'épigastre.

    Ah ! tout pour toi, Lune, quand tu t'avances
    Aux soirs d'août par les féeries du silence !

    Et quand tu roules, démâtée, au large
    A travers les brisants noirs des nuages !

    Oh ! monter, perdu, m'étancher à même
    Ta vasque de béatifiants baptêmes !

    ...