• Trois ans déjà passés, théâtre de la guerre,
    J'exerce de deux chefs les funestes combats,
    Et fais émerveiller tous les yeux de la terre,
    De voir que le malheur ne m'ose mettre à bas.

    A la merci du Ciel en ces rives je reste,
    Où je souffre l'hiver froid à l'extrémité,
    Lors que l'été revient, il m'apporte la peste,
    Et le glaive est le moins de ma calamité...