Tu ne te souviens pas d’avoir vu le soleil
Qui dore l’horizon, le flot, l’arbre, la pierre,
Car le destin ferma pour toujours ta paupière,
Sitôt qu’elle eut souri dans ton berceau vermeil.

Or, quand s’évanouit l’éclair de ta prunelle,
Le génie en ton âme...