Il est frappé, Konrad, sous le drapeau qu’il aime ;
Il tombe dans sa force ; et le combat suprême
Apporte au fier vaincu, fauché dans son printemps,
La belle mort qu’on rêve et qu’on cherche à vingt ans,
Qui vous prend jeune et pur, encor digne d’envie,
La mort qui doit guérir et couronner la vie.
La mort vient, mais trop lente ; au soldat resté seul...