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    I

    Sur les quais populeux je suis seul, et j’y foule
    L’affreux limon qui naît sous les pas de la foule ;
    Cherchant un peu de jour dans ce ciel infecté
    Par les jaunes vapeurs que vomit la cité,
    Sous la voûte fumeuse où couve la tempête,
    Je marche appesanti, morne et baissant la tête,
    Sans pouvoir, à travers mille bruits discordants,
    ...