J’admirais autrefois les splendides vainqueurs
    Vers qui monte la flamme extatique des cœurs.

    Mais je n’aime aujourd’hui que les vaincues très calmes
    Dont le sang fier ternit la verdure des palmes.

    Moi qui compte à pas lents le chemin du...

 
    Ton regard embusqué sous tes paupières sombres
    Guette… Ton faux regard est là, traîtreusement…
    Il épie, en secret, le passage des ombres
    Dans mes yeux… Il me guette, inexorablement.

    J’ai peur de ce regard sournois… O perfidie
    De ton...