De leurs cercles bruyants où tout est faux et vide
Quand j’ai, silencieux, longtemps subi le poids,
Esprit malade, esprit de solitude avide,
Comme un oiseau blessé, je m’enfuis vers les bois.

Là, tout est doux et grand, rien n’irrite et ne pèse ;
Je m’...