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    À Eugène Zerlaut.

    Voici le matin ridicule
    Qui vient décolorer la nuit,
    Réveillant par son crépuscule
    Le chagrin, l’intrigue et le bruit.

    Corrects, le zinc et les ardoises
    Des toits coupent le ciel normal,

    On dort, dans les maisons bourgeoises.
    Je ne dors pas. Quel est mon mal ?

    Est-ce une vie antérieure
    Qui...