O de quelle splendeur brillaient nos jours passés,
Quand un autre soleil échauffait la patrie ;
Quand nos jeunes lauriers, vers le ciel élancés,
Agitaient noblement leur tige refleurie !
Ces grands jours, déjà loin, ne vont plus s’éveiller :
Notre avenir se...
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Je ne suis plus enfant : trop lents pour mon envie, |
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Toi qui répandis tant de gloire |
Pas une herbe ne pousse Oiseau qui fends l'espace... |
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Ah ! sous une feinte allégresse |
Arrête , esprit sublime ! arrête ! |
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— Ta fièvre va renaître. |