I
Ô Versailles, par cette après-midi fanée, 
Pourquoi ton souvenir m'obsède-t-il ainsi ? 
Les ardeurs de l'été s'éloignent, et voici 
Que s'incline vers nous la saison surannée.
Je veux revoir au long d'une calme journée 
Tes eaux glauques que jonche un feuillage roussi,
Et respirer encore, un soir d'or adouci, 
Ta beauté plus touchante au...
