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  • Quand le Nazaréen, en croix, les mains clouées,
    Sentit venir son heure et but le vin amer,
    Plein d’angoisse, il cria vers les sourdes nuées,
    Et la sueur de sang ruissela de sa chair.

    Mais dans le ciel muet de l’infâme colline
    Nul n’ayant entendu ce lamentable cri,
    Comme un dernier sanglot soulevait sa poitrine,
    L’homme désespéré courba son front...