Si je gravais des vers sur ton socle de pierre,
Certes, j’exalterais tes combats glorieux,
O monstre colossal, qui, seul victorieux,
Seul peux montrer les crocs et froncer la paupière.

Je dirais qu’on t’a vu, jusqu’à l’heure dernière,
Fauve géant, qui fus digne...