Les rats du cimetière proche,
Midi sonnant,
Bourdonnent dans la cloche.
Ils ont mordu le cœur des morts
El s’engraissent de ses remords.
Ils dévorent le ver qui mange tout
Et leur faim dure jusqu’au bout.
Ce sont des rats
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Vous aurez beau crier contre la terre, Ils sont bien morts, les morts, |
Les chapelles des coins de bois
Revivent toutes à la fois, De fleurs rouges et de jaunes abeilles... |
L’or serait tout, s’il était maître des idées, Mais lentement, mais jour à jour, |
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C’est un beau soir de mars, rugueux et froid.
L’après-midi, quelques fragiles anémones À cette heure tombe le soleil jaune. Merles et grives...
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Cloches pour les vivants et bourdons pour les morts
— Fêtes, décès, mariages, anniversaires — |
En un quartier quatre fois centenaire,
Dont les hôtels et les maisons |
Les Communiers
Soit instinct, soit hasard. |
LE COMTE DE LA MI-CARÊMEVenant d’Espagne ou de Bohème,
Au trot de son lent cheval blanc, |
Au long du port moiré de soir, Chaque matin, vers l’autre rive |