La nuit, pour rafraîchir la nature embrasée,
De ses cheveux d’ébène exprimant la rosée,
Pose au sommet des monts ses pieds silencieux,
Et l’ombre et le sommeil descendent sur mes yeux
C’était l’heure où jadis !... Mais aujourd’hui mon âme,
Comme un feu dont le vent...
|
Vous me l'offrez, je le réclame : |
O toi dont l'oreille s'incline Providence qui console, Toi qui... |
La douce et blanche tourterelle |
J’aime mieux la maison du pâtre sous la neige |
Frère, le temps n’est plus où j’écoutais mon âme |
Aimons-nous ! notre fleuve baisse ; |
Oh ! rouvrez-leur des bras de mère, |
Quand je m’assois dans ces retraites Dans ces... |
|