O philosophe, ô solitaire
Sur la montagne retiré,
Qui répands de là sur la terre
La chaleur d’un cœur inspiré !
Quand je m’assois dans ces retraites
Pleines de générations,
Où tu ranges sur deux tablettes
La sagesse des nations,
Dans ces...
Quand je m’assois dans ces retraites Dans ces... |
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Crois-tu donc, jeune fille aux jours d’ombre... |
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Ta nature est pourtant la même ; |
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La respiration douce |
Là, toute inimitié s’efface sous la... |