La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe
Ô nuits ! ni...
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La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres. |
Le soleil que sa halte Je sens comme aux vertèbres |
Ces cailloux, tu les nivelles |
Hors de la poix rien à faire, Il va de cuir à ma paire |
Ta pâle chevelure ondoie Las de battre dans les sanglots |
La chevelure vol d’une flamme à l’extrême Mais sans or soupirer que cette vive nue |
Souvent la vision du Poète me frappe : Dante, au laurier amer, dans un linceul se drape, |
Toujours, n’importe le titre, |
Dame Oui,... |