• Des avalanches d’or du vieil azur, au jour
    Premier et de la neige éternelle des astres
    Jadis tu détachas les grands calices pour
    La terre jeune encore et vierge de désastres,

    Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin,
    Et ce divin laurier des âmes exilées
    Vermeil comme le pur orteil du séraphin
    Que rougit la pudeur des aurores foulées,

    L’...

  • Des avalanches d’or du vieil azur, au jour
    Premier et de la neige éternelle des astres,
    Jadis tu détachas les grands calices pour
    La terre jeune encore et vierge de désastres,

    Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin,
    Et ce divin laurier des âmes exilées
    Vermeil comme le pur orteil du séraphin
    Que rougit la pudeur des aurores foulées

    L’...

  • Des avalanches d’or du vieil azur, au jour
    Premier, et de la neige éternelle des astres,
    Mon Dieu, tu détachas les grands calices pour
    La terre jeune encore et vierge de désastres ;

    Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin,
    Et ce divin laurier des âmes exilées
    Vermeil comme le pur orteil du séraphin
    Que rougit la pudeur des aurores foulées ;...

  • Des avalanches d’or du vieil azur, au jour
    Premier, et de la neige éternelle des astres
    Jadis tu détachas les grands calices pour
    La terre jeune encore et vierge de désastres,

    Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin,
    Et ce divin laurier des âmes exilées
    Vermeil comme le pur orteil du séraphin
    Que rougit la pudeur des aurores foulées,

    L’...

  • Des avalanches d'or du vieil azur, au jour
    Premier et de la neige éternelle des astres
    Jadis tu détachas les grands calices pour
    La terre jeune encore et vierge de désastres,

    Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin,
    Et ce divin laurier des âmes exilées
    Vermeil comme le pur orteil du séraphin
    Que rougit la pudeur des aurores foulées,

    L'...

  • Minuit au vieux beffroi : l'ombre dort, et la lune
    Se joue en l'aile noire et morne dont la nuit,
    Sombre corbeau, nous voile. Au ciel l'étoile fuit.
    - Mille voix du plaisir voltigent à moi : l'une

    M'apporte ris, baisers, chants de délire : suit
    Une fanfare où Strauss fait tournoyer la brune
    Au pied leste, au sein nu, que sa jupe importune.
    - Tes masques...