Faut-il donc que ce petit livre
Où plein d’espoir chante l’Amour,
Te trouve souffrante en ce jour,
Toi, pour qui seule je veux vivre ?
Faut il qu’au moment tant béni
Ce mal affreux t’ait disputée
A ma tendresse épouvantée
Et de ton chevet m’ait banni ?
— Mais puisque enfin sourit encore
Après l’orage terminé
L’avenir, le front...