Ta paille azur de lavandes,
Ne crois pas avec ce cil
Osé que tu me la vendes
Comme à l’hypocrite s’il
En tapisse la muraille
De lieux les absolus lieux
Pour le ventre qui se raille
Renaître aux sentiments bleus.
Mieux entre une envahissante...
Ta paille azur de lavandes, En tapisse la muraille Mieux entre une envahissante... |
Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos, Coure le froid avec ses silences de faulx, |
Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos, Coure le froid avec ses silences de faulx, |
Elle dormait : son doigt tremblait, sans améthyste Et son ventre sembla de la neige où serait, |
La Nourrice
Abolie, et son aile affreuse dans les larmes |
Parce que de la viande était à point rôtie, Parce que d’un lit, grand comme une sacristie, |
Ce me va hormis l’y taire L’invasion je la guette
Nue ou d’écorce tenace |
Quelconque une solitude Ici de la gloriole
Mais langoureusement longe |
Indomptablement a dû Voix étrangère au bosquet
Le hagard musicien, |
Yeux, lacs avec ma simple ivresse de renaître De ma jambe et des bras limpide nageur traître, |