Des saisons la plus désirée
Et la plus rapide, ô printemps,
Qu’elle m’est longue, ta durée !
Tu possèdes mon adorée,
Et je l’attends !
Ton azur ne me sourit guère,
C’est en hiver que je la vois ;
Et cette douceur éphémère,
Je ne l’...
Ton azur ne me sourit guère, |
Qui changes la boue en prairies, |
Nous n’... |