• Ô terre, vil monceau de boue
    Où germent d’épineuses fleurs,
    Rendons grâce à Dieu, qui secoue
    Sur ton sein ses fraîches couleurs !

    Sans ces urnes où goutte à goutte
    Le ciel rend la force à nos pas,
    Tout serait désert, et la route
    Au ciel ne s’achèverait pas.

    Nous dirions: — À quoi bon poursuivre
    Ce sentier qui mène au cercueil ?
    ...