• Ô Nuit où je me perds, ténèbre affreux et sombre,
    Pourquoi durez-vous tant ? Faites place aux flambeaux
    Que vous tenez là-bas arrêtés sous les eaux,
    Pour rendre à mon malheur plus obscure votre ombre.

    J'aime mieux demeurer pour jamais en encombre
    Entouré de silence, entre ces deux tombeaux,
    Que d'être en rien tenu à ces deux Soleils beaux,
    Deux...