Dans l’aube adolescente aux frissons indécis
Où le soleil d’avril s’épand comme un glacis,
On les voit s’avancer, Communiantes pâles,
Cachant leurs bras frileux aux plis tièdes des châles ;
On les voit s’avancer, et leur voile tremblant,
Devant leurs yeux de...
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Aux jours pascals, quand le ciel est d’azur, Elles vont, cloches d’innocence, |
Elles vont vers Jésus comme on va vers la vie… |