À Jules Bailly.
I
C’étaient vraiment des gens heureux. Ils étaient trois :
Le père, adroit maçon parmi les plus adroits ;
La mère, brave femme à peu prés du même âge,
Qui travaillait en ville et soignait son ménage ;
Enfin,...
I C’étaient vraiment des gens heureux. Ils étaient trois : |
Les canaux somnolents entre les quais de pierre |