Prenez le cas, que, comme je suis vostre
(Et estre veulx) vous soyez tout a moy :
Certainement par ce commun bien nostre
Vous me deburiez tel droict, que je vous doy.
Et si Amour vouloit rompre sa Loy,
Il ne pourroit l'un de nous dispencer,
S'il ne vouloit contrevenir a soy,
Et vous, & moy, & les Dieux offencer.
Prenez le cas que,...