La plus douce des voix qui vibraient sous le ciel
Se tait: les rossignols ailés pleurent le frère
Qui s'envole au-dessus de l'âpre et sombre terre,
Ne lui laissant plus voir que l'être essentiel,
Esprit qui chante et rit, fleur d'une âme sans fiel.
L'ombre élyséenne, où la nuit n'est que lumière,
Revoit, tout revêtu de splendeur douce et fière,
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