J’ai reposé mon cœur avec tranquillité
Dans l’asile très-sûr d’un amour très-honnête.
La lutte que je livre au sort est simple et nette,
Et tout peut m’y trahir, non la virilité.
Je ne crois pas à ceux qui pleurent, l’âme éprise
De la sonorité de leurs propres sanglots :
Leur idéal est né de l’écume des mots,
Et comme je les tiens pour nuls, je les...