Sur ta rampe, pendant la nuit,
Je suis cette image accoudée
Qui regarde la pâle idée
Faire le tour de ton ennui.
Je suis pour ta morne veillée,
Celle en noir habillée,
Celle aux regards ailleurs
Dont les yeux brûlent en leurs pleurs...
Sur ta rampe, pendant la nuit, Je suis pour ta morne veillée, |
Le port immensément enchevêtré de mâts, |
L’homme du soir de la fatigue Le vêtement des plus beaux rêves, |
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Et me voici d’un grand site de catafalques La science s’y darde, en des observatoires |
De part en part,
À chaque angle, par chaque fente, Le corps en pierre de la tour. La ville en est épouvantée ;...
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Brisez-leur pattes et vertèbres, Jadis, lorsque mon cœur cassa, — Brisez-leur pattes et... |
Celui qui n’a rien dit — Serrez-le vite en un linceul de paille, Celui qui n’a rien dit |
Je suis celui qui vaticine J’ai vu passer à travers champs Ils portaient des torches ignées, Peu importe l’homme... |
Mon frère ? — il est... |