• Depuis qu'Amour cruel empoisonna
    Premièrement de son feu ma poitrine,
    Toujours brûlai de sa fureur divine,
    Qui un seul jour mon coeur n'abandonna.

    Quelque travail, dont assez me donna,
    Quelque menace et prochaine ruine,
    Quelque penser de mort qui tout termine,
    De rien mon coeur ardent ne s'étonna.

    Tant plus qu'Amour nous vient fort assaillir...