Pourquoi sous tes cheveux me cacher ton visage ?
Laisse mes doigts jaloux écarter ce nuage :
Rougis-tu d'être belle, ô charme de mes yeux ?
L'aurore, ainsi que toi, de ses roses s'ombrage.
Pudeur ! honte céleste ! instinct mystérieux,
Ce qui brille le plus se voile...
|
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, |
C'est une nuit d'été ; nuit dont les vastes ailes |
A Mme de P***. |
(A un poète exilé) |
Ainsi, quand l'aigle du tonnerre |
Sur les ruines de Rome. |