• Jeune Gaussin, reçois mon tendre hommage,
    reçois mes vers au théâtre applaudis ;
    protége-les : Zaïre est ton ouvrage ;
    il est à toi, puisque tu l’embellis.
    Ce sont tes yeux, ces yeux si pleins de charmes,
    ta voix touchante, et tes sons enchanteurs,
    qui du critique ont fait tomber les armes ;
    ta seule vue adoucit les censeurs.
    L’illusion, cette...