Naples, 1822.
Si tu pouvais jamais égaler, ô ma lyre,
Le doux frémissement...
Naples, 1822. |
Un de ses bras fléchit sous son cou qui le presse, |
Naples, 1822. |
Viens, cherchons cette ombre propice |
Pourquoi de tes regards percer ainsi mon âme ? |
Un jour, le temps jaloux, d'une haleine glacée, |
Pourquoi sous tes cheveux me cacher ton visage ? |