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    Quand, assise le soir au bord de ta fenêtre,
    Devant un coin du ciel qui brille entre les toits,
    L’aiguille matinale a fatigué tes doigts,
    Et que ton front comprime une âme qui veut naître.
    Ta main laisse échapper le lin brodé de fleurs
    Qui doit parer le front d’heureuses fiancées,
    Et, de peur de tacher ses teintes nuancées,
    Tes beaux yeux...