• Ô bois qui du soleil accusez l'impuissance,
    Recevant de ses traits la chaude violence
    Sans en être percé,
    Que n'ai-je comme vous fortifié mon âme
    Pour recevoir les coups du bel oeil qui m'enflamme
    Sans en être offensé !

    Que n'ai-je comme vous une écorce sauvage
    Insensible aux douleurs, comme vous à l'outrage
    Des hivers ravissants !
    ...