Aimé Feutry

  • Au pied de ces coteaux, où, loin du bruit des cours,
    Sans crainte, sans désirs, je coule d'heureux jours,
    Où des vaines grandeurs je connais le mensonge,
    Où tout, jusqu'à la vie, à mes yeux est un songe,
    S'élève un édifice, asile de mortels
    Aux larmes dévoués,...