Puisqu’ainsi sont mes dures destinées,
J’en soûlerai, si je puis, mon souci.
Si j’ai du mal, elle le veut aussi.
J’accomplirai mes peines ordonnées
Nymphes des bois qui avez étonnées,
De mes douleurs, je crois quelque merci,
Qu’en pensez-...
Puisqu’ainsi sont mes dures destinées, Nymphes des bois qui avez étonnées, |
Ce sont tes yeux tranchants qui me font le courage. |
Aux vitraux diaprés des sombres basiliques, Et la lune paraît, de ses rayons obliques |
Merci à toi, à toi merci.
Avant cet heureux jour, j’étais sombre et farouche, |
Liberté de juillet ! Femme au buste divin, E la lor cieca vita è tanto bassa Avec ce siècle... |
J’aimais autrefois la forme païenne ; Maintenant j’adore une Italienne, |
Lorsque je vous dépeins cet amour sans mélange, Rien de ce que je dis ne vous paraît étrange, |
Amour tant vous hai servit Ne... |
Pour veiner de son front la pâleur délicate, Dans sa prunelle humide un doux rayon éclate ; |
Qu’est-ce que ce bonheur dont on parle ? — L’avare Il ne voit rien de plus. — Le far-niente, un cigare, |