MAURICIO BALIENTE
¿Por acá don Centurión?
Bien haiga con su madrina
¡A que al rastro de una china,
se ha largao esta ocasión!

CENTURIÓN
Ni por pienso dio en el punto,
le diré él porque llegué:
de mi pago me ausenté
por librarme ser dijunto...

Bruno el sombrero que a lucir campea
Con alto moño y superior plumaje.
Faz que vela su olímpico linaje
Y que de negro el tul raya y puntea.

Azabache tejido el noble traje;
Y al cuello en un listón rica presea:
Adamantino aljófar que chispea
En dos aros...

AL VIEJO CALISTO ÑATO

Con el sombrero en la mano
Y la frente medio gacha,
Porque conozco la hilacha
De su numen soberano,
Vi'a confesarle, paisano,
que si me atrevo a pyar,
Es no más que pa encelar
Al ave que en su garaganta
Me entusiasma...

Oiganmé pues con cuidao
que les va a gustar el caso,
donde dos ternes machasos
con la pluma se han trensao.

Justoamante y Don Herrera
de otro tiempo resentidos;
hoy de frente se han ponido
separaos por dos tranqueras,
para ver quien más pudiera...

 
Je vis la Mort, je vis la Honte ; toutes deux
Marchaient au crépuscule au fond du bois hideux.

L’herbe informe était brune et d’un souffle agitée.

Et sur un cheval mort la Mort était montée ;
La Honte cheminait sur un cheval pourri.

Des vagues oiseaux...

Poet: Victor Hugo

I

A L'ALLEMAGNE

Aucune nation n'est plus grande que toi ;
Jadis, toute la terre étant un lieu d'effroi,
Parmi les peuples forts tu fus le peuple juste.
Une tiare d'ombre est sur ton front auguste ;
Et pourtant...

Poet: Victor Hugo

 
    Entre dans mon royaume, envahis mon empire.
    La grande salle a des colonnes de porphyre…
    Nous y célébrerons les lumineux festins
    Et nous réjouirons avec les morts hautains
    Et les mortes charmantes.

    Les princesses et les reines et les...

XI

Dès votre premier cri, Jeanne, vous excitiez
Nos admirations autant que nos pitiés ;
Vous naissiez ; vous aviez cette toute-puissance,
La grâce ; vous étiez la crèche qu'on encense,
L'humble marmot divin qui n'a point encor d'yeux,...

Poet: Victor Hugo

 
La trombe éclate, il grêle sur mon champ ;
Adieu mes blés, mes roses que je pleure !
La foudre encor va tomber tout à l’heure ;
Un tourbillon s’amoncelle au couchant.

Dans tout le ciel se heurtent les nuages ;
Celui-là passe, un plus sombre le suit......

I

Ma vie entre déjà dans l’ombre de la mort,
Et je commence à voir le grand côté des choses.
L’homme juste est plus beau, terrassé par le sort ;
Et les soleils couchants sont des apothéoses.

Brutus vaincu n’a rien dont s’étonne Caton ;...

Poet: Victor Hugo