Mai, le plus amoureux des mois,
Fleurit et parfume les haies.
Allons-nous-en dans les chênaies,
Égarons-nous au fond des bois !
Cherchons la source et les clairières,
Dormons à l’ombre du bouleau ;
Un bon soleil ami de l’eau
Sourit aux flaques des...
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Mai, qu’avait jusqu’alors désolé le vent aigre, |
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Frêne hautain, forestier et champêtre |
(Lettre X) |