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Voici l’asile pur des champs : voici la ferme, Voici la prison blanche où le far-niente enferme |
Les terre est une épouse épanouie et mûre. Le bon grain dur et jaune a crevé son armure, |
C’était une de ces nuits blondes Les arbres, décor sympathique |
Je rêve un frontispice à mes vers. Le burin, Pour abuser mon cœur par un espoir serein, |
Combien vas-tu tuer d’hommes, sombre Océan ? Des sillons longs et noirs rident ton sein béant ; |
Rien n’a plus sa figure et rien n’a plus sa place : |
Malgré le froid, le ciel est en fête, et l’azur, La colline montrant au loin sur un fond pur |
Dans un parc oublié dont le silence amorce Son tronc noir se raidit musculeux comme un torse, |
Une habitude longue et douce lui faisait Un jour que le soleil piquant et clair grisait |