Ô Muses, par tous ces héros que vous pleurez
Et qui sont morts, là-bas, loin de vos bras sacrés,
Vous voici, désormais, en une double Gloire,
Filles de la Patrie et sœurs de la Victoire !
1914-1916
More from Poet
|
C’est vrai. Ma bouche a bu aux sources souterraines ; |
Le dôme, le créneau, la muraille, la tour, |
Car sa mémoire encore y retrouve sa vie |
Travaille, croîs, grandis ! que ta hauteur t’isole, |